Choix 1. Le terminal en mode texte présenté après le démarrage d'un serveur Linux sans bureau graphique est nommé une console. Il présente une mire de connexion sur laquelle il faut saisir avant tout un identifiant et un mot de passe pour s'authentifier et démarrer éventuellement un shell.

Choix 2. Faux, l'émulateur de terminal est un programme qui peut exister pour Windows, macOS et Linux.

Choix 1 et 3. Le seul moyen de se connecter sur une des 7 consoles physiques d'un serveur Linux est d'être physiquement devant le serveur.

Choix 1, 3 et 4. Le shell est un programme qui se lance généralement après la phase d'authentification de l'administrateur, depuis l'une des consoles physiques de Linux, ou via un émulateur de terminal. Mais il est possible de lancer également un shell depuis un shell.

Choix 1, 3 et 4. Le shell est un programme dont l'objectif est de faire l'interface entre l'utilisateur et le système. Il propose généralement des fonctions d'interpréteur de commandes, de programmation et de canaux d'entrée/sortie/erreur. Le shell ne gère pas le matériel.

Choix 3. Sous Linux, par défaut, le shell exécuté après la phase d'authentification est configuré dans le dernier champ du fichier /etc/passwd.

Choix 2. Le caractère délimiteur terminal $ de ce prompt indique par défaut que vous êtes connecté avec un compte non privilégié.

Le caractère délimiteur terminal '#' est celui indiquant par défaut un compte privilégié. L’élément /root affiché dans ce prompt indique simplement que l’utilisateur se situe à cet instant dans le répertoire /root.

Choix 2. La configuration du prompt est définie dans la variable $PS1 .

La variable $SHELL contient la commande exécutée pour lancer le shell après l'authentification et la variable $PATH contient la liste des répertoires référençant des commandes externes.

Choix 2. La commande id est une commande externe, sa documentation est donc accessible via l'option –help.

Choix 1, 2 et 4. Le répertoire racine / n'est pas référencé par défaut dans la variable $PATH, c'est donc la seule solution ici qui ne permette pas d'exécuter le script sans le référencer de manière absolue.